Principes et concepts du projet |
Le projet de village écologique à Rémila s’appuie essentiellement sur la base des différents principes et concepts du développement durable, à savoir :
Société Equilibrée – Ecologie – Culture – Economie
Avec le concept : Penser Global – Agir Local
Ainsi que les interrelations qui peuvent exister entre ces trois aspects, appuyés par la réhabilitation de la mémoire et qui seront par la suite appliqués à l’Architecture et aux vécus du projet d’INÈS-Y-ILÈS.
CONCEPT GÉNÉRAL DE LA PENSÉE GLOBALE ET DE L’ACTION LOCALE À RÉMILA
(Cliquer sur l'image pour agrandir) |
|
ÉVOLUTION ET APPORTS DE L’ÉCOLOGIE à DISPOSITION DU PROJET REMILA
POUR CE QUI EST DU COTE GLOBAL :
La notion d’écologie est devenue incontournable dans l’élaboration de la majorité des nouveaux projets d’aménagement du territoire qui tentent de s’inscrire dans une démarche de développement durable.
Elle a en effet mis en exergue la nécessaire préservation de notre environnement naturel et de ses ressources à l’échelle plus large et pour se faire, l’indispensable implication de nos localités, dans le développement mondial.
POUR CE QUI EST DU LOCAL :
Rémila, Khenchela, les Aurès sont des entités naturelles qui témoignent de la vitalité potentielle que recèle l’avenir de cette région, à condition qu’il ne soit pas dilapidé comme il l’a été par ailleurs.
C’est en effet dans ce travail à plus petite échelle que chaque territoire peut apporter sa contribution à un équilibre à notre développement tout en participant à une évolution plus globale par un partage des expériences dans ce domaine.
QUELQUES REFERENCES LOCALES, NATIONALES ET INTERNATIONALES A CETTE ETUDE :
Outre les études de l’INRAA de Constantine, du CRSTRA de Biskra pour les zones arides, du CNERU d’Alger des années 1980, du CNERIB de Souidania des années 1990-2000 pour les constructions en terre stabilisée type BTS, des Ministères de l’Habitat, de l’environnement et de l’Agriculture d’Alger de 1980 à 2000 pour leurs recommandations et règlements divers, des études des universités de Biskra de Batna et de Constantine , il est fait aussi référence ici aux bases de la thèse B. Agguerabi Genève 2007 sur l’habitat des Aurès et des différentes études d’instituts spécialisés type CRATERRE de Grenoble et autres institutions de par le Monde depuis 1980 , ainsi que des pratiques mondiales et historiques depuis l’aube de l’humanité revalorisées par les différents mouvements écologiques mondiaux.
|
|
|