|
Terre stabilisée garantie et protégée contre les intempéries et l’usage du temps, par les moyens architecturaux |
|
prévus à ce projet. |
|
Matériaux naturels : pierres et sables issus de la région, dans un rayon de 50 km notamment dans la région de |
|
Timgad à l’Ouest, de Baghaï voisine, Fridjou à l’Est. |
|
Enduits décoratifs naturels permanents sans entretien périodique, etc. |
|
Ensemble de système constructif anti-sismique avec des matériaux simples et locaux maîtrisés par l’ingénieur |
|
Agguerabi et son bureau d’études. |
|
Un gaspillage des espaces agricoles à des fonctions de fausse urbanité et non-ville, à une fragmentation des |
|
espaces utiles rendus impropres à toute exploitation urbaine agricole. |
|
À titre d’exemple : les villes de Khenchela, Oum-el-Bouaghi, Aïn M’lila, Batna, Biskra ont connu des extensions |
|
urbaines anarchiques de 10 000 % de 1954 à 2007 |
|
Les phénomènes socioéconomiques : |
|
La croissance démographique et le besoin accru en produits alimentaires ont conduit à une surexploitation des ressources naturelles, à l’amplification des déboisements en vue d’augmenter les capacités agricoles et par là-même à la dégradation de l’environnement et des conditions de vie des populations.
Les contraintes naturelles au développement :
Les reliefs limitent l’extension des zones de cultures, les espaces forestiers sont utilisés pour le cheptel et les quantités annuelles des précipitations sont en diminution. Le tarissement des points d’eau et l’aridité du climat ne favorisent pas les jeunes reboisements.
|
|
La dégradation des sols et la régression de la végétation :
Elles augmentent à la fois l’impact de l’érosion éolienne |
|
ainsi que le ruissellement des eaux de surfaces empêchant ainsi le renouvellement des réserves en eau des sous-sols En face de ces risques, le projet d’INÈS-Y-ILÈS devient une opportunité à édifier des structures qui puissent mettre en œuvre une nouvelle approche de la vie urbaine, par un développement agricole plus participatif et plus équilibré, contre une production-consommation-pollution. |
|
Constructions par des concepts modernes maitrisés depuis 40 ans, par le bureau d’études Agguerabi |
|
Etudes écologiques par des logiciels homologués de haut niveau |
|
Etudes en respect de la région, suivant l’esprit de la thèse sur les Aurès : Agguerabi-Université de Genève 2007 |
|
Constructions antisismiques conçues pour 100 ans et garanties minimales sur 10 ans |
|
Concepts de maitrise des déperditions thermiques + confort naturel sans dépenses excessives d’énergie. |
|
Concept de rapport qualité/prix, garantie supérieure au marché immobilier pratiqué actuellement. |
|
Etre à l’écoute des préoccupations des élus locaux et autorités concernées et s’inscrire dans les orientations |
|
de la commune. |
|
Proposer des investissements cohérents par des équipements diversifiés avec des effets sur la localité à court, |
|
moyen et long termes |
|
Prévoir des délais nécessaires, raisonnables et réalistes pour des investissements de qualité sur le long terme |
|
Respecter et à la fois enrichir les cultures et traditions de la région |
|
Valoriser les savoir-faire locaux et les ressources disponibles |
|
Mettre à disposition du projet des moyens et techniques les plus performants. |
|
Introduire si nécessaire des compétences complémentaires extérieures et permettre leur diffusion par des formations |
|
d’appoint adaptées. |
|
Privilégier les techniques favorisant la réduction du coût global et de la maintenance des constructions. |